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18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 07:31

 

Si vous voulez vous détendre, oublier soucis personnels, catastrophes naturelles et autres, je vous conseille d'aller voir cette comédie  ; Pendant la projection vous allez rire et après vous allez sourire, tant ce film est drôle, frais, léger.......bref il fait du bien ! Les acteurs sont magnifiques !

N.

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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 07:53





...............et je suis triste..................un Géant de la chanson française .....................un homme juste, droit, fidèle à ses opinions...................bref un GRAND HOMME nous a quittés.
N.
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9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 08:40
............Tout un symbole  : la veille de la "JOURNEE DE LA FEMME", c'est une femme qui reçoit l'OSCAR du meilleur réalisateur et en plus pour un film de guerre ! Bravo Kathrin Bigelow !

Comme l'avaient anticipé les augures d'Hollywood, "Démineurs" s'est imposé comme le grand gagnant de la 82e cérémonie des Oscars, en remportant six statuettes.

Kathryn Bigelow, recevant le prix de la meilleur réalisatrice pour "Démineurs". (AFP)

Kathryn Bigelow, recevant le prix de la meilleur réalisatrice pour "Démineurs". (AFP)

L'Oscar du meilleur film a été attribué dimanche 7 mars au dramatique "Démineurs" lors de la 82e cérémonie des Oscars à Los Angeles. La réalisatrice du film de guerre, Kathryn Bigelow, a également reçu l'Oscar du meilleur réalisateur. C'est la première fois qu'une femme reporte la plus prestigieuse récompense de la cérémonie. Kathryn Bigelow a dédié son prix "aux militaires qui risquent leur vie en Irak et en Afghanistan".
"Démineurs" était en compétition avec "Avatar", blockbuster réalisé par son ex-mari, James Cameron. Le film a également remporté les trophées du meilleur montage, scénario original, meilleur son et mixage.

(nouvelobs.com, 08.03.2010)
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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 18:41
Et de quatre pour le duo DiCaprio-Scorsèse qui allient une nouvelle fois leurs talents pour nous offrir un huis clos suffocant et énigmatique sur le trouble de l'identité, le poids du passé, et l'ambiguïté de la mémoire avec Shutter Island, un film à tiroirs à mi chemin entre le polar et le film de terreur.

En 1954, le marshal Teddy Daniels (Léonardo Di Caprio) et son coéquipier Chuck Aule (Mark Ruffalo) sont mandater pour enquêter sur la disparition mystérieuse de Rachel Solando, une patiente d’un asile de fou dangereux niché au cœur d’une île sombre et hostile à quelques emcablures de Boston : Shutter Island. Comment cette femme accusée d’avoir assassiné ces trois enfants a-t- elle pu sortir d’une cellule fermée de l’extérieur et surveillée 24h sur 24 ! Le seul et unique indice découvert dans la pièce par Teddy Daniels est un morceau de papier sur lequel a été écris une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Message incohérent d’une âme dérangée ou message codé laissé délibérément par la disparue ?

Sous couvert d’une banale enquête de police, Martin Scorsese nous entraîne dans un véritable labyrinthe mental habilement mis en scène où chaque indice est distillé au compte goutte jusqu’au malaise, au fur et à mesure que l'investigation avance sur le tortueux chemin de la vérité, qui va réveiller chez Teddy Daniels un passé douloureux pétrit de deuil, de culpabilité et d’un désir de vengeance inassouvis.

Dès les premières images de ce ferry fantomatique sortant de la brume, le film nous embarque dans un voyage au pays des ombres et de l'innocence à jamais perdue, mais aussi de la folie et du deuil impossible. Avec ce scénario monté sur ressort, Scorcèse joue habilement avec tous les codes du genre : horreur, drame psychologique, suspense et émotion, d’où émergent plusieurs scènes assez angoissantes qui, au final, finiront par créer un véritable puzzle de souvenirs d'un homme et de son passé où se mêlent rêves et réalité, illusions et mensonges, et finalement vérité. On pense indéniablement au Maître Alfred Hitchcock pour la construction en palier du suspense et à David Lynch dans la manière de montrer avec brio le coté obscure de l’âme humaine.

En maître incontesté de la direction d’acteur, Martin Scorsèse sait parfaitement où il veut emmener ses comédiens.Tous les personnages sont joués de manière très juste, sans artifices ni surenchères, chacun à sa juste place formant un écrin parfait autour d’un Léonardo Di Caprio au sommet de son art et qui peut, tout à loisir, déployer son immense talent, alimentant son jeu d'une fureur âpre et habitée. Tout à tour émouvant sous des pluies de cendres, enlaçant les démons du passé ou terrifier par la peur et le doute devant l’inébranlable vérité. Cette Vérité, rappelle Scorsese, qui est aussi fugace et fragile qu'une flamme soufflée par le vent dans l'obscurité d'une grotte...

Shutter Island est un film sur la désorientation de l’esprit. C’est un exercice de style où le spectateur se retrouve lâché en roue libre dans un monde où passé et présent, réel et imaginaire finissent par se mêler jusqu’à la confusion des sens et la perte totale de repères. Incroyablement lyrique et mettant majestueusement en valeur la violence de cet univers à part Scorsèse a réussit l'exploit de toujours maintenir son récit sur le fil du rasoir sans jamais tomber dans le piège de la grandiloquence et de la prétention. Alors certes, ce n’est pas un film facile d’accès au premier abord, il faut se laisser aller à entrer dans l’histoire sans retenue ni idées préconçues, mais entre frisson et émerveillement, la portée finale est saisissante et on s’étonne de vouloir le revoir une deuxième fois pour l’appréhender d’une toute autre façon.

Ce film est une véritable histoire de fou...
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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 06:59

Hier soir au théâtre municipal de Béziers j'ai assisté à la représentation de

« Jules et Marcel « avec M. Galabru et P. Caubère.

"Il s'agit d'une lecture de lettres échangées entre l'écrivain Marcel Pagnol (Philippe Caubère) et Raimu (Michel Galabru), son ami et lecteur fétiche. Le thème central est le « cinéma », passion qui a relié les deux personnages hors du commun leur vie durant. Ces lectures reposent sur des lettres authentiques et souvent inédites, ainsi que sur des conversations entre les deux personnages afin d'exprimer les liens d'amitié qui les reliaient. L'ensemble crée une dramaturgie, où rires et émotions sont présents jusqu'à la fin.

Ces correspondances entre Jules et Marcel tissent ainsi la toile de leur éternelle amitié, mêlée de mauvaise foi truculente, de fâcheries épiques, d'admiration réciproque, de pudeur, d'humour, de souvenirs, de secrets.., et de savoureuses envolées, drôles, fraîches et vives comme l'eau des sources de leur Provence. Une amitié profonde et féroce qui les a unis dès leur première rencontre, jusqu'à la mort prématurée de Jules : « Que Jules ne soit plus là, cela me fait de la peine. Non seulement parce que je l'aimais, mais parce que je n'arrêtais pas de me fâcher avec lui. Quand un sudiste se fâche avec un autre sudiste, c'est une preuve d'estime... ».

« Caubère donne la réplique à Galabru. Inutile d 'en dire plus: c 'est un moment drôle, tendre, cocasse, un moment de bouderies, d'amitié et d'éclats de rire. Tout sonne juste» ( de A. héliot, le Figaroscope)

 Pour moi ça a été un moment de pur bonheur avec deux monstres sacrés. La lecture de lettres aurait pu étre ennuyeuse mais les deux artistes réussissent par leur immense talent et leur complicité tour à tour à nous émouvoir, à nous faire rire, bref à nous faire passer un moment exquis que j'aurais bien aimé pouvoir prolonger..........

Je ne peux que vous conseiller d'aller voir ce spectacle.

Si vous l'avez vu  qu'en avez-vous pensé ?

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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 17:06

EVE ENSLER a parcouru le monde et interrogé plus de 200 femmes, jeunes, âgées (même des femmes de 75 ans), de toutes les races, toutes les couleurs et toutes les ethnies, et de toutes couches sociales, qu'elles soient lesbiennes, célibataires, mères de famille, secrétaires, PDG, noires, asiatiques, indiennes, juives, espagnoles, bosniaques……
Les femmes interrogées ont confié leurs doutes, angoisses, traumatismes, souffrances mais aussi leurs joies, plaisirs, et également leurs envies, aspirations....

Elle en a écrit un ouvrage, et de ce livre est née la pièce.
Elle est jouée depuis 7 ans déjà en France, la 1ère représentation a eu lieu à Paris le 1er juin 2000 !
A ce jour, elle continue d'être jouée avec un succès toujours au rendez-vous qui ne faiblit pas !
Seules les comédiennes changent, suivant les saisons, disponibilités, et théâtres ! !
Cette pièce a fait et fait le tour du monde, et elle est traduite en 45 langues !
Une pièce qui fera date dans l'histoire du théâtre et devient déjà culte !
Il est à noter également que le mot « vagin » est cité 123 fois dans la pièce !! 


C'est un spectacle sur la violence infligée au corps féminin que ce soit sous la forme de viol, de violence sexuelle contre les petites filles, de la persécution des lesbiennes, de mutilation et de harcèlement sexuel mais également sur le bonheur d'être femme, la joie d'être amante et la fierté d'être mère.

C'est un spectacle à la fois drôle, émouvant qui mêle rire et émotion, donc  à voir absolument entre copines mais aussi en couple!!!!

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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 16:33
Leur dernier film, shutter Island, à voir absolument :

1954. Teddy Daniels et Chuck Aule enquêtent sur la disparition d'une patiente échappée d'un hôpital psychiatrique à sécurité maximale. L'hôpital en question est basé sur Shutter Island, une île située à environ une heure au large de Boston..........

Donnez votre avis ................




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24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 11:05

Il est encore temps d'aller en famille voir ce magnifique film, qui vous donnera un moral à tout épreuve et qui vous fera encore plus aimer et donc préserver notre TERRE!


"Quatre ans de tournage dans cinquante-quatre endroits de la planète, plus de quatre-vingt-dix espèces filmées, dont certaines ne l'avaient jamais été, et des centaines de kilomètres de pellicule pour répondre à une question enfantine, mais abyssale : c'est quoi l'océan ?

On se doute, bien sûr, des prouesses techniques que ce documentaire a nécessitées, mais on les oublie devant l'ampleur et la beauté de la fresque. Suivre le ballet des bélugas, cétacés presque fantomatiques (et qui n'ont rien à voir avec le caviar !), entendre le grognement de la murène ruban ou le soupir de l'étoile de mer contribuent à la magie d'un spectacle qui se passe (presque) de mots. Et les sept petites minutes de commentaire (sur presque une heure quarante-cinq !) préfèrent alerter plutôt qu'alarmer : il est temps, encore, de protéger la diversité animale pour que la planète reste bleue... Quand d'autres écolo-cinéastes misent sur l'emphase, Jacques Perrin, lui, se contente de prendre son jeune fils par la main pour lui confier ses craintes et ses espoirs... Océans est un bain de jouvence.

Guillemette Odicino, Télérama, 30/01/2010"

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